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En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Habitante d'Istanbul, Pinar Kartal, 33 ans (ici le long du Bosphore), est une ingenieure au ch?mage depuis dix-huit mois. Un sort partage par 16,6 % des femmes turques, qui subissent un deficit d'initiatives publiques.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Des femmes turques immortalisent un merveilleux coucher de soleil lors d'une traversee sur le Bosphore entre la rive europeenne et asiatique d'Istanbul.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Tulay etudie la maroquinerie au centre de formations Ismek de Fatih. Son projet est de vendre prochainement ses creations sur Internet.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Ayfer SandAak?Aa et Yasemin Mert, toutes deux r la tete d'un etablissement public et gratuit de formation r Istanbul, le centre Ismek de formations en artisanat r Fatih.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Zeynep Gumus, responsable formation et logistique chez Bebemoss, entreprise sociale de jouets en coton accompagnant des mcres qui travaillent r domicile.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Nese ?zturk Coskun a pu retrouver un travail gr?ce r l'association BizBizze, qui aide les femmes dans leur recherche d'emploi.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Habitante d'Istanbul, Pinar Kartal, 33 ans (ici le long du Bosphore), est une ingenieure au ch?mage depuis dix-huit mois. Un sort partage par 16,6 % des femmes turques, qui subissent un deficit d'initiatives publiques.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Alors que la population locale fait face r une forte crise economique, Istanbul seduit toujours de nombreux personnes qui viennent admirer les mosquees dans le quartier historique de la ville.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Saliha Dedeoglu (r droite), vient deposer ses peluches faites main dans l'atelier de Bebemoss. Pour elle, faire du crochet est une veritable therapie et elle est heureuse de pouvoir faire ce metier r domicile gr?ce r l'entreprise sociale creee par Izabela Er?zahin (r gauche).
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Lal Yukeb, ?zden AnAak Tekin et Ozge Yurttas prennent la pose dans les bureaux de l'association BizBizze. Elles accompagnent des femmes universitaires dans leur recherche d'emploi ou leur donnent les clefs necessaires pour se lancer dans l'entreprenariat r l'aide de formations, d'un reseau de coachs et de mentorat.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Femmes volontaires de l'association YenidenBiz se retrouvent dans un centre commercial du quartier des affaires r Istanbul. Leur but est de mettre r disposition leur reseau et un programme de mentorat suivi notamment par El?in Uguzluoglu (au fond r gauche), qui aprcs r une interruption de carricre pour s'occuper de sa fille, aspire r devenir consultante en communication.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Arzu ?erkezoglu, presidente de la Confederation des syndicats des travailleurs revolutionnaires (Disk), reclame qu'il est temps que le gouvernement ouvre les yeux sur les realites de cette crise economique. Elle deplore aussi le fait que les femmes soient les premicres victimes du ch?mage en evoquant les chiffres suivant : sur quatre jeunes femmes dipl?mees de l'universite, l'une demeure sans travail.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. Dans le b?timent de la cooperative Ilk AdAam, soutenue par l'association KEDV, Saime (r droite) vient chercher son enfant de quatre ans. Cette jeune maman est femme de menage r temps plein depuis un an gr?ce r cette crcche o? elle peut y deposer sa fille Zehra tous les matins avant de partir travailler.
En Turquie aujourd'hui mieux vaut ne pas etre une femme sur le marche du travail. Premicres victimes de la crise economique et d'une politique ultrapatriarcale, elles ne representent qu'un tiers de la population active. Ni dupes ni soumises, des associations et des entreprises sociales travaillent r leur insertion. ? la tete de la fondation Kedv, Sengul Ak?ar developpe un reseau de cooperatives de femmes r qui elle propose assistance technique et boutiques pour vendre leurs creations.